Sujet d'introduction de Eduardo. El Viar.

Eduardo prends une grande inspiration. L'air marin lui empli les poumons, mêlé au parfum des oliviers du champ en contrebas. Pas de doute, c'est bien son pays, avec cette fragrance si caractéristique... Dommage que ce soit une si triste occasion qui l'ait ramené ici.
Les cloches de la petite église perchée au bord de la falaise sonnent huit heures, le coucher de soleil éclaire El Viar d'une lueur violacée alors que la brise marine commence à tomber et que l'air se refroidit peu à peu. Il n'y a personne dans les rues, tout le monde doit déjà être rentré dans son logis, par respect envers le prêtre disparu.

Eduardo pénètre dans le bâtiment saint et s'approche du cercueil trônant devant l'autel. Le corps de son père adoptif repose là, si proche et pourtant si lointain. Il s'agenouille et passe un long moment à prier pour le salut de l'homme qui a longtemps été sa seule famille, l'homme qui l'a élevé, l'homme qui lui a montré la voie que le Seigneur lui destinait, ...

Soudain, un petit bruit attire son attention : derrière les piliers se meut la frêle silhouette d'un enfant, mais celui-ci reste dans l'ombre. Eduardo s'approche de lui, tendant une main amicale. c'est alors que le petit jaillit hors de l'obscurité affichant une figure entièrement ravagée : de grands lambeaux de peau pourrie lui chutent des joues et un de ses yeux s'est flétri, laissant une orbite vide bordée de chair en putréfaction où prolifèrent déjà quelques asticots.

Le prêtre recule au plus vite, laissant la créature s'affaler au milieu de la nef puis se relever, salivant de plaisir quand à son repas à venir.

le poul du pretre s'accelere d'un seul coup et une goute de sueur froide coule le long de son echine." l'enfant " continue d'avancer vers lui de sa demarche lente ,fixant eduardo de son seul oeil valide avec le regard d'un loup affamé.Eduardo ne sait pas quoi faire , il est tetaniser devant la chose qui s'avance lentement vers lui,sa respiration devient de plus en plus rauque ,il transpire de plus en plus et le monstre continue de se raprocher, quand soudain Eduardo se resaisit , se rapellant un courte priére. Il recule de façon a mettre le plus de distance possible entre lui et le monstre. Il se retrouve finallement acculé ,le dos contre le cercueil de son ancien precepteur.
a sa gauche un chandelier de fer suporte le poids d'un large cierge.sans reflechir a son acte Eduardo pousse le cierge , s'empare du chandelier et s'avance d'un pas assuré vers son agresseur.
Il le frappe de 3 coup ,sans aucune pitié pour le jeune enfant que se demon avait du etre avant,la chose encaisse les coup et ...

S'effondre au sol dans un gargouillis immonde. Eduardo, dans un réflexe, embrasse le crucifix qu'il porte à son cou et se signe. Mais déjà à l'entrée se dessinent en contre-jour les ombres d'autres créatures chancelantes.

Eduardo se rue pour sonner les cloches : si il y a un tel danger en ville, mieux vaut prévenir la population au plus vite; mais les monstres continuent de s'approcher et certains commencent à déguster par petits bouts le cadavre du prêtre décédé...

Eduardo se rut donc dans la sacristie , toujours armé de son chandelier . Il arrive dans une petite salle servant de "bureau" a l'ancien pretre,2 porte , dont l'une d'elle laisse decouvrir un excalier montant au clocher ,forme les deux seules issues s'offrant au pretre.
Continuant dans sa lancée Eduardo s'elance dans les escalier menant aux cloche. Mais il s'arrete au bout de 2 min de course,essouflé par cet assencsion et terroriser par la horde de monstre qui viennent d'entrer dans la maison de son Dieu.Mais il ne peut pas s'arreter pour se reposer,priant le seigneur de lui donner la force et le courage de continuer Il continue son assenscion vers le haut du clocher.
Arrivé en haut il jette un coup d'oeil par l'ouverture donnant sur l'exterieur et decouvre avec horreur un spectacle qui lui glace le sang ...

Là, dans les ruelles pavées de El Viar, se déroule un spectacle qui le hantera pour le reste de ses jours : des dizaines de monstres assaillent les pauvres villageois qui, armés d'outils et de morceaux de meubles en tout genre, tentent de repousser l'envahisseur. C'est un massacre, les survivants se font déchiqueter sans merci par les créatures démoniaques et agonisent dans de terribles cris d'effroi. La lueur de la lune qui vient de se lever donne à la scène un aspect cauchemardesque et livide.
Eduardo est à mille lieux de penser à sonner les cloches à présent : il s'écroule à genoux et prie. Il prie pour tous ces innocents, il prie pour son âme, il prie pour son père adoptif, il prie pour son village, ...

...

Quelques heures ont passé. La guerre a cessé dans la ville et on n'entends plus un bruit. Eduardo se relève lentement. Les zombies n'ont certainement pas pû produire un effort assez important pour grimper jusqu'au sommet du clocher. Mais que faire à présent ?

Eduardo se relève donc encore marqué par le dur moment qu'il vient de passé et décide de redescendre dans l'église .Le bâtiment est baigné d'une atmosphère de tranquillitée et de calme,le prêtre décide d'en profiter pour s'asseoir sur un banc et réfléchir sur tout se qui lui est arrivé.
"Qu'est ce que c'était ?"dit il a voit haute.
"que faisait des choses aussi monstrueuse a El Viar ? "
Eduardo commença a échafauder les théories les plus farfelues mais sans réussir a se convaincre de quoi que se soit. Il conclut finalement que ses choses était bien réel ( son chandelier était toujours maculé du sang de l'enfant ) et qu'elle se nourrissait des cadavres de leur victime ( comme il avait put le voir du haut du clocher.)

Il continuait a faire les cents pas dans la nef quand soudain,lorsqu'il passa devant le cercueil de l'ancien prêtre , il vit avec horreur que son cadavre n'y était plus. Son sang ne fit qu'un tour ,Il commença a imaginer le corps de son père adoptif lacéré par une horde de créature répugnante se battant pour avoir les meilleur morceau de viande. cet vision remplis son coeur d'une effroyable rage et il décida de partir a sa recherche dans le village. c'est donc le visage marqué par la haine et son chandelier à la main qu'Eduardo sortit de l'église pour retrouver l'homme qui l'avait élevé...

L'horreur est partout. Sur la route pavée s'étalent quantités d'entrailles et de bouts de chair déjà assaillis par les mouches. L'odeur du sang est omniprésente. Le prêtre s'appuie sur la fontaine de la grand place et régurgite violemment son dîner et quelques hosties.
Lorsqu'il se redresse, c'est pour apercevoir en face de lui, dans une petite ruelle, un groupe de monstres occupés à se régaler d'un cadavre démembré. L'un d'eux a vu Eduardo et préviens ses congénères d'un cri désarticulé. Ceux-ci ne tardent pas à se jeter sur l'homme qui serre son chandelier avec force, à s'en imprimer les fines gravures sur la paume de la main...

Eduardo se met alors en grade , son chandelier à la main, Les monstres , eux,forment un cercle autours de lui, cherchant un point faible dans sa garde.La peur commence a monter dans le coeur du pretre, Il se voit deja dans le méme etat que les hommes qu'ils a vut se faire dévorer. Mais l'un des monstres, impatient de planter ses croc dans le corps du prétre , romp le cercle et s'élance sur Eduardo.
Celui-ci lui envoie alors un violent coup de chandelier dans la tempe, sa téte se détache de son corps dans un bruit de giclure.Imédiatement une nué de mouche viennent s'aglutiner sur le corps de la chose.
Impréssioner par la reaction de l'homme, les monstre se recule de quelques pas en arriére pour mieux evaluer leurs proie.
Ce coup redonne confiance a Eduardo, Il se calme et essaye de réfléchir calmement a la situation. *je ne pourait jamais faire face a tous ces monstre, il faut que je m'en fuit* se dit il.
Rapidement Il observe les creatures: elles sont 5 , 5 monstre assoifé de sang et pret a tuer pour l'obtenir. Mais l'une d'elle semble plus faible.C'est donc sans reflechir a ce qu'il fait qu'eduardo se lance sur le monstre le plus faible en hurlant le nom du trés haut "DIEEEEEEEEEUUUUUUUUUUUUUUU !!!!!".

Certainement effrayé par le cri démentiel du prêtre, le zombie a un instant de doute et d'hésitation... qui lui est instantanément fatal. Des bouts de chair plein la soutane, Eduardo s'élance sur la voie qui mène en dehors de El Viar, poursuivi par une horde de monstres qui, bien que capables de bonds surhumains semblent quelque peu lents.
Eduardo traverse aussi vite qu'il le peut le champ d'oliviers, arrachant quelques branches au passage. Il a semé ses poursuivants.
*Ouf...*

Il prends une allure de marche plus régulière pour traverser l'Arroyo de Siete, en direction de Brenes.
*Là bas, il y a aura certainement quelqu'un pour m'aider*

Eduardo marche depuis déjà trois heures dans la nuit noire. Lorsque tout d'un coup il tombe a genou par terre exténué,la fatigue ,la soif et la faim l'on torturé pendant sa marche et il commence a perdre espoir. Il repense a son village, a tout les gens qui l'on vu grandir , au prêtre qui l'avait adopté et élevé... tout cela est maintenant détruit. tout les gens qu'il a connue son mort.
*et c'est susurrement ce qu'il va m'arriver si je ne trouve pas de l'aide très vite.* ce lamenta le prêtre.
Eduardo commençais vraiment a désespéré, Il se mit donc a prier. Il pria pendant une longue heure puis ,comme régénérer par ce temps de recueillement, il se relève et observe l'horizon a la recherche d'une aide éventuelle.
au sud, Il aperçois les lumières de Brenes *C'est las bas que je vais *ce dit il, Mais il doit encore traverser deux fleuve.
Il se remet donc en marche en direction de Brenes.

...

Après une demis heures de marche, au détour d'une colline il aperçois une maison dont un filet de fumé s'échappe de la cheminé. Eduardo remercie le seigneur de lui avoir montré la bonne voie et court en direction de la maison en espérant y trouver de l'aide ...

Arrivé devant la porte de la masure, Eduardo s'époussete puis toque doucement.
- Il y a quelqu'un ? Par la grâce de dieu, ouvrez !

Personne ne lui réponds...
Après quelques autres infructueuses tentatives de contact, il pousse la porte avec appréhension , chandelier à la main. A l'intérieur, aucun signe de vie, les lieux semblent avoir été quittés dans l'urgence, tout est sens dessus dessous.
*Et maintenant ?*

Eduardo fouille alors méthodiquement la maison , il découvre que la maison était sans doute occupé par un couple plutôt croyant comme en témoigne le lit a deux place et les nombreux crucifix cloué au dessus des porte de chaque piéces. Il découvre de plus dans la cuisine assé de pain pour faire un repas. aprés avoir copieusement mangé et but , Eduardo décide d'aller se coucher dans le lit pour se reposer. Aprés avoir prié le seigneur pour que rien ne lui arrive pendant son sommeil, Il s'endort.

Son sommeil est perturbé par d'horribles cauchemar : Il voit son ancien précepteur le corps décomposé lui courant après, un poignard a la main en disant "Eduardo , pourquoi m'a tu abandonné ?"

soudain Le prêtre se réveille, devant lui se trouve un homme grand ,mal rasé , le teint sale, les yeux exorbité, pointant un fusil de chasse sur lui." QUI EST TU ?" hurle t-il ?
" je ... je .. suis Eduardo, ..un ..prêtre" réussit a articuler Eduardo, la voie déformer par la surprise.
"UN PRETRE , HA TU TOMBE BIEN" continue de hurler l'homme "J'AVAIS BESOIN D'AIDE"
Eduardo ,comprenant que l'homme ne lui veut aucun mal , se ressaisi et répond "Que voulez vous mon fils ?"...

L'homme l'agrippe par le poignet et le tire à l'extérieur, jusqu'à un petit appentis au fond du jardin. Là, la jambe pris dans un piège à loup, une femme se débat. De grand lambeaux de peau nécrosée pendent de son corps marqué de moult escarres.
- TOI QU'EST PRÊTRE, C'EST QUOI ÇA ?
- Mon fils, pourquoi retenez vous cette femme en otage ?
- C'EST MA FEMME, JE FAIS CE QUE JE VEUX !
L'homme respire un coup et reprends, un ton en dessous (*enfin !*)
- Depuis que l'aut' cabron de cabot l'a mordue, elle est comme ca. SALE BÊTE !
- Votre chien ? Où est-il ?
- 'sert d'pâture aux mierda d'poiscailles. LE PROBLÈME C'EST ÇA ALORS CLEBS OU PAS TU VAS M'AIDER !
- Hum... C'est comme si c'était une maladie qui se propage comme la rage.
- QU'EST QUE TU DIS ?
- Laissez-moi tenter quelque chose, mon fils.
Eduardo sort un bouteille d'eau bénite de sous sa soutane et commence à en asperger la femme zombifiée.
- GRRRRRRRRR !
- ET VOILA VOUS L'AVEZ ENCORE PLUS ÉNERVÉE ! SI VOUS AVEZ PAS MIEUX QUE CETTE MIERDA, VOUS POUVEZ ALLER VOIR AILLEURS !
- Je n'ai pas l'impression qu'un exorcisme classique puisse quoi que ce soit. Je crains qu'il ne soit trop tard pour votre femme mon fils...

L'homme arme son fusil et, sans hésitation, décapite son épouse.
- MAIS VOUS ÊTES FOU !
- ARRÊTE DE CRIER JE SUIS PAS SOURD !
- Le meutre est un pêché mon fils !
- C'EST TOI QU'A DIT QU'IL ÉTAIT TROP TARD, CABRON !
- Certes mais...
- CALLA TE !
L'homme charge le cadavre sur son épaule et va le jeter dans une fosse au fond du jardin.

Eduardo regarde l'homme balancé sans aucune forme de respect le cadavre de son ex-femme dans la fosse.Il commence a se demander si il a vraiment fait le bon choix en vennant dormir ici.*Cet homme ne me parait pas saint d'esprit du tout*songe t'il.
Mais l'homme revient et cri" HE Y A UNE DIZAINE DE TYPE LOUCHE QUI RODE AUTOUR DE LA MAISON"
Eduardo scrutat les environs et remarqua ,au loin , un groupe de monstre s'approchant lentement de la maison."hum nous devrions partir d'ici mon fils, je ne pense pas que ses gens là soit trés amicaux."
"HAHA QU'ILS VIENNENT JE LES ATENDS CES SALOPERIES C'EST PAS 10 GAS COMME EUX QUI VONT ME FAIRE PEUR"continua de hurler l'homme.
"Je vous en conjure venez avec moi, ces gens la ne sont pas comme vous et moi ,se sont des monstre, assoifé de sang qui...
"JE SAIT TRES BIEN SE QUE C'EST,coupat l'homme,J'EN AI DEJA TUE 15 COMME EUX DEPUIS HIER"et d'un mouvement de la main il montrat au pretre un asser grand arbres , un pommier d'aprés lui.au debut Eduardo ne remarqua rien de special mais en se observant plus attentivement il vit entre les feuillage un spectacle qui lui glaça le sang:
dans les branche du pommier etait pendu une quinzaine d'etres "humain" tous avait eté démanbrés et evicéré.
"Mais.. Mais.. la plupart d'entre eux etait des etre humain realisa, le pretre, vous etes complétement cinglé"
"MOI CINGLE HAHA TU SAIT SE QUI LUI EST ARRIVE AU DERNIER QUI A DIT SA AU VIEUX CABALLO ?"
Mais Eduardo n'eut pas le temps de le savoir car , avant que Caballo n'eut put continuer sa phrase, une large main couverte de griffe c'etait abatut sur lui.La creature s'abbatit sur lui et ,avant que l'homme n'est put reagir,commença a lui devorer les intestins.
Pendant que la creature s'occupait de Caballo,Eduardo eut la bonne idée de se cacher derriére le pommier...

*C'est une véritable invasion...*
Le sang de l'un des pendus lui goutte sur le crâne. Eduardo décide de fuir au plus vite pendant que les créatures sont toujours occupées à dévorer Caballo. Le revoilà donc à dévaler la colline, chandelier à la main, soutane au vent lorsque soudain, il arrive sur les berges de la rivière le séparant de Brenes.
*Zut, il va me falloir remonter jusqu'à Villaverde si je veux pouvoir traverser...*

Eduardo se maudit de ne pas y avoir penser plus tôt. c'etait stupide enfin, lui qui avait grandit ici,il conaissait se pays comme sa poche. Il aurais du se rappeller qu'il n'y avait pas de pont entre El viar et Brenes.Mais le pretre repris courage et c'est en chantonant un ave Maria qu'il se remit en route pour Villaverde.
Aprés une demi-heure de marche le soleil rechaufa eduardo de ses rayons naissant et le pretre vit alors aparaitre le village de Villerde...

Le village n'a pas l'air plus vivant que El Viar, aussi l'évite-t-il soigneusement et se contente d'emprunter le pont, en direction de Brenes. Sur la route, de nombreuses voitures abandonnées bloquent le passage, quittées en toute hâte par leurs occupants face à la menace.
* Par la grâce de dieu, pourvu que ce côté-ci du fleuve ait été épargné...*
Le prêtre reprends sa marche vers le Sud, vers Brenes. Il connaît bien le prêtre de cette ville. Lui saura quoi faire.

Le soleil finit par se lever completement , rechaufant la terre de ses rayons chaleureux. le ciel est bleu et les oiseau chante.
Eduardo marche sous ce magnifiqe ciel depuis deja une heure, lorsqu'il aperçois enfin la ville de brenes.
Le pretre entre donc dans la ville et decouvre, sans surprise des cadavres mutillé d'etres humain et de monstre.les rue son jonché de tripes,de membres déchiquetés et il y reigne une odeur de putréfation,Amplifier par la chaleur de soleil,qui est maintenant presque familiére a Eduardo.Il continue donc son chemin a travers la ville a la recherche de son confrére,marco.Etonnament , il ne croise aucune creature,*Elle ne sorte peut etre que la nuit* se dit il.Eduardo espére que son ami n'est pas mort, Il ne l'a pas vu dans les cadavre, *Il doit surement etre dans son eglise si il n'est pas mort, a moins qu'il se soit enfui*.Mais soudain Eduardo reçois un violent coup sur le crane, une creature l'a attaquer par derriére,le preétre tombe a la renverse et la creature commence a se pencher pour planter ses croc dans la chaire du prétre. Eduardo sent que sa derniére heure est venue , Il se signe une derniére fois, se préparant a revoir son ancien precepteur quand une détonation retentie, le monstre s'ecroule alors,la téte dechiqueté par une balle de fusil.
Eduardo regarde d'ou venait le tir,du clocher *il est vivant *se dit il...

Là haut, un homme lui adresse de grands signes de la main. Eduardo parcourt avec hâte les derniers mètres le séparant du lieu saint et grimpe aussi rapidement qu'il le peut rejoindre Marco l'Excentrique, son ami de toujours.
- Eduuuuuuuuuuardoooooo ! Amigo !
L'individu, complètement excité lui saute dessus et l'enserre avec force, sans tarir son flot ininterrompu de paroles :
- Holà holà ! Amigo, c'est pas cool du tout ! Tu as vu ce que dieu nous envoie ?
- Holà, Marco... Ce serait plutôt du diable nous envoyer ÇA...
- No, no, no ! C'est dieu ! Il n'y a que lui pour m'offrir des cibles pareilles !
- Quoi ?
Marco brandit avec fierté son long fusil à lunette :
- Ils disaient tous que le vieux Don Marco était loco mais maintenant, c'est lui qui tiraille les lapins divins ! Caramba !
- Marco, c'est quoi ces choses ?
- Un cadeau du seigneur ! Le saint gibier que c'est, Eddy !
- Et il y en a beaucoup ?
- Plein partout si on en croit cette fichue radio, j'ai du boulot !
Sur ces mots, il arme son fusil et dégomme un zombie errant dans les ruelles en contrebas.
- La radio ? Il y a d'autres survivants ?
- Chais pas Eddy, mais en tout cas, si ils sont morts ils parlent vachement ! Tiens !
Marco lui donne un transistor de poche qu'Eduardo allume sans tarder.
- Aqui les résistants de Séville ! Troisième jour de lutte, restez motivés ! Nous triompherons de cette épreuve ! Dieu a choisi le déluge, à présent, il...
La litanie de motivation continuait sans fin, encourageant les survivants à résister au "virus" envoyé pour purger l'humanité de ses pêchés...
- Un virus ? Marco, c'est vrai ça ?
- Qu'est que j'en sais Eddy ? Y racontent tellement de cosas estupidas que j'écoute même plus.
Les cadavres de créatures s'entassent dans les rues de Brenes.
- Marco, il faut qu'on les rejoigne à Séville ! Il faut lutter ensemble !
- Mais je suis bien ici, tu devrais rester, Eddy.
- Marco, par la grâce de dieu...
- C'est bon, c'est bon, je sors la fantastica Marcomobile ! De toute façon, il reste plus beaucoup de madre de dios de cibles ici...

"-QUOI,s'excalma eduardo,la marcomobile,ne me dit pas que tu a garder ce tas de tole durand toute ces années ?
-vieux tas de tole mais de quoi parle tu eddy,repondit Marco l'air étonné,allé suis moi je vais te montrer mon bébé."
Marco pris son fusil et Eduardo la vieille radio puis ils dessendirent tout les deux du clocher pour se rendre dehors. la derriére l'eglise,se tennait un indescriptible tas de ferraille monté sur quatre roue qui ressemblait plus a une contenaire a ordure plutot qu'a une voiture.
"-mais mon dieu marco, c'est encore pire que ce que je ne le croyait . au moins quand la derniére fois que je l'avait vut elle avait des vitre et un capot...
-Pas mal hein,le coupat marco,et atend tu n'a pas tout vue j'ai aussi retiré le pot d'echapement et la porte du coffre ils avait tendance a trainé par terre et sa faisait un bruit monstre.bon monte donc on va passer a la maison pour chercher le materiel et casser la croute tout les deux.
-Jamais je ne monterait dans ta voiture eddy,je prefere aller a seville a pied plutot que de me retrouver pulveriser au milieu de la route a cause de ta chose qui a pris feu.
-comme tu voudra eddy,mais fait bien atention la route est lopngue j'usqua seville et se serrait dommage que tu te fassse dévorer pendant la nuit héhéhé !
*hum il a raison je prend autant de rique en y allan tout seul. bien autant mourir avec un amis plutot que tout seul*
-tout bien réfléchis je vais venir avec toi marco mais a condition que tu conduise prudament.
-haha merveilleux allé monte donc !

et eduardo monta s'installer non sans crainte dans la marcomobile.Pendant un cour instant il s'etonna de ne pas trouver de ceinture de securité puis,se souvenant de qui il avait a faire decida de faire comme si de rien n'était.
aprés avoir retiré les cales qui servait de frein au vehicule,Marco montat a son tour dans sa voiture, fit toucher quelque fils et la voiture démarra.
la marcomobile s'elança donc a la folle alure de 35 kilométres par heures dans les rue de brenes jusqu'a la petite maisopn du pretre.
Les deux compére s'y aretére pour manger puis marco parti reunir les affaire neccesaire a l'expedition(tente,couverture,provision etc...)pendant se temps eduardo se retira pour prier dans le jardin.

Aprés trois heure marco vint tirer Eduardo de sa priére
"j'ai chargé la voiture mon frére on peut y aller."

...

Eduardo fit semblant de ne apercevoir les bâtons de dynamite et les sacs d'hosties aux olives qui dépassaient du coffre et s'installa de nouveau dans la marcomobile.

Alors que Marco exultait, Eduardo commençait à se sentir malade sous les assauts combinés des cahots, des tremblement de la marcomobile et des zigzags entres les véhicules abandonnés.

Lors de la traversée de San José de la Rinconada, Marco stoppe la "voiture".
- Qu'est-ce qu'il se passe ?
Sans un mot, le prêtre arme son fusil et dégomme un zombie dans une pharmacie en ruine qui dévorait manifestement un cadavre plus très frais.
- Ca me détends amigo. Je vais quand même pas les laisser à d'autres alors que je peux les tirer, no ?

Après de nouveaux maux de ventres chez Eduardo, les deux prêtres arrivent enfin à Séville.

une ambiance macabre reigne dans la ville : des corps en décomposition jonchent les trotoire et le sang macule les mur des maisons.
de plus une odeur pestilanciéne, du a la décomposition des corps et a la chaleur,revulse le coeur des deux homme.
Eduardo,le coeur deja malmené par la onduite de son amis,ouvre la fenetre de sa portiére et vomi le contenue de son estomac.
"-et bien eddy,lui lance marco,va falloir t'habituer a cette odeur c'est comme sa par tout haha.bien ou allons nous maintenenant?
-je ne sait pas on devrait atendre que les resistant se reveille et parle a nouveau dans la radio,ils induqueront peut etre leur position.
-ouai en atendant je vais aller me chercher une ou deux de ses bestiole pour me detendre, toi reste ici pour garder mon bébé."

Le pére marco pris alors son fusil a lunette et quelque munition puis parti en direction du centre ville de seville laissant eduardo seul dans la marco mobile avec pour seul companie son fidéle chandelier...

Eduardo allume de nouveau la radio sur la fréquence captée à Brenes.
- ...ille. Ne perdez pas espoir, dieu est avec nous et un jour l'illu...
* C'est bon, je sais tout ça, dis moi juste où tu est ! *
- ...vine de par l'exactitude avisée du zénith ardent dans lequel le sei...

Et pendant encore une bonne heure, le discours continue. Eduardo commence à s'endormir lorsque soudain :
- ...rielle. Et il est temps pour moi de céder ma place à Rrrrrrricoooo. A demain et surtout... ne mourrez pas !
- Ici Rico sur radio Résistants de Séville. Nous tenons toujours le centre hospitalier Virgen Macarena, ne faiblissez pas, amigos ! La lu...
* L'hôpital ! *

Eduardo se saisit de la carte coincée dans la portière : le Virgen Macarena est à environ deux kilomètres en aval du fleuve par rapport à lui. Il tente de démarrer la Marcomobile... sans succès : seul son maître est capable de la dompter.
* Dois-je y aller à pied où attendre Marco ici ? *

*hum que doit je faire, se dit le prêtre, rester a attendre Marco m'exposerait a une attaque de ces créatures mais si je m'en vais je l'abandonne *
c'est un véritable dilemme pour Eduardo: il refuse d'abandonner son ami mais son instinct de survie lui dit de fuir et de retrouver les résistants.
finalement après avoir réfléchis pendant un bon quart d'heure il décide de laisser un mot dans la voiture

"Marco ne t'inquiète pas ils ne m'ont pas eu, Je suis partie a pied pour l'hôpital virgen Macare pour rejoindre les résistant. Peut tu me rejoindre las bas au plus vite
amitié Eduardo"

il mémorise le chemin a suivre pour se rendre a l'hôpital et prend deux bâtons de dynamite puis se dirige a pied vers l'hôpital.

L'hôpital Virgen Macarena est non-loin dans le centre-ville, les rues de Séville sont obstruées par les véhicules abandonnées, c'est une vision d'apocalypse pour l'homme de religion. Mais Eduardo ne veut pas y croire, pas l'apocalypse, c'est trop tôt, il reste encore des fidèles sur Terre.

D'abord El Viar, ensuite Séville, mon pays serait en guerre ?

L'hôpital est étrangement calme vu de l'extérieur, l'entrée principale est bloquée par une barricade faite de morceaux de bois et de tonneau renversés.
Quelques cadavres sont visibles devant la barricade, la preuve que des survivants se sont battus ici, mais il n'y a plus personne maintenant.

Mais où sont-ils passés ?