Lieu inconnu : Les vrais ennuis commencent. Jack Tyler, Daniel Winter, Florian Castelli.

Jack arrive finalement au bout d'une grande rue. Elle est coupée par un large fleuve, des centaines de morts sont portés par le courant.
A un juger par les vieux bâtiments et les immeubles d'affaires, Jack se trouve en plein centre de la ville.
Une traversée à pied de la ville prendrait longtemps, et le soleil se couche déjà.

Jack décide finalement de s'abriter dans un des immeubles. Il entre dans une banque et va jusqu'au coffre fort. Les coffres fort ont un système pour les fermer de l'intérieur et qu'il soit ensuite impossible de les ouvrir de l'extérieur. sur le chemin du coffre fort , il trouve trois cadavre d'agent de sécurité. Peut ètre des munitions, armes ou kevlar sur eux ? Jack fouille donc les corps.

Rien de bien intéressant, Jack continue son chemin vers la salle des coffres.
Il défonce une porte qui lui barrait le passage, mais cela déclenche l'alarme, un bruit strident et continuel retentit dans toute la banque,
l'alarme risque d'attirer les morts-vivant ici.

*et merde* pensa Jack.

Il s'enfuit de la banque a toute jambe et alla dans un immeuble situer deux kilomètre plus loin.
Dans la pièce de controle, une armoire d'arme et munition, il l'ouvre et trouve...

une vieille M16, modèle précédent de la M4. Après s'en être emparé, il constate qu'elle est inutilisable.
Il récupère le chargeur en espérant qu'il soit compatible avec la M4, et continue l'exploration de l'immeuble.

Il monte tout en haut fouillant tout l'immeuble afin de récupérer un maximum de matos et un endroit facile a défendre pour dormir.

(attention à la limite de 3 lignes)

L'immeuble de centre-ville est étrangement vide, tous les occupants semblent avoir fuit, Jack ne trouve que des bureaux de travail, aucune chose utile.
Après avoir fouillé les premiers étages, Jack ne parvient pas à monter au dernier, l'ascenseur est hors-service et les escalier sont bloqués par des briques, ça mettrait trop de temps pour tout déplacer. Un panneau "en chantier" indique que le dernier étage n'est pas achevé, il y a peut-être un passage par l'extérieur du bâtiment (nascelle, escalier de secours, etc.)
Jack renonce à poursuivre son exploration et ne trouve finalement qu'un lieu sûr pour dormir : les toilettes pour hommes de l'avant-dernier étage.
Les murs sont tachés de sang, les lavabos et les miroirs sont brisés, mais il n'y a personne.

Au milieu de la nuit, Jack est réveillé par un hurlement horrible. Ce hurlement venait de dehors, mais il était proche. Il n'avait rien d'humain, et aucun mort-vivant n'avait assez de puissance pour produire un bruit aussi horrible. Jack se penche à la lucarne pour observer ce qu'il se passe, il ne voit rien dans la nuit noir. Un gigantesque fracas tout en bas laisse présager que la porte d'entrée à été défoncée.

Une fraction de seconde, et la menace prend toute sa forme dans l'esprit de Jack. Il court a l'endroit ou il y a le chantier et avise un cable qu'il accroche a un des pilliers...Le cable est long...cela suffira. Il traine et lancel e cable par une des fenètre et descent en rappel le long de la parois de l'immeuble tandis que la "chose" investit l'immeuble.

Il prend ensuite ses jambes a son cou et cours le plus vite possible autant qu'il peut...

Le danger est écarté pour le moment. Jack se pose un moment contre un mur pour souffler, il se rend compte que dans sa hâte, il a oublié son M4.
Heureusement qu'il a gardé le Walther P99 à la ceinture.

Il est une heure du matin, les zombies sont tous sortis de leur cachette, un groupe de dix individus a repéré Jack et commence à se diriger vers lui.
Pour l'ancien agent de l'UBCS, la nuit ne fait que commencer.

-"Fait chier !! bon pas la peine de lutter..." se dis Jack a lui mème, il s'élance dans les rue de paris et espère trouver un refuge.

Il court pendant de nombreux kilomètre, s'arretant parfois pour laisser passer une horde de zombie puis au détour d'une ruelle trouve une armurerie, il entre de dans et la fouille trouvant ...

Deux pistolets mitrailleurs UZI, Jack les saisis, ce sont de vrais bijoux, reste plus qu'à trouver les munitions.

- Lâche ça tout de suite, met les mains en l'air et retourne toi lentement. La voix tremble légèrement.
A en juger par le son qu'elle émet, Jack donne environ 63 ans à l'étranger derrière-lui, à un an près.

Jack commence a se retourner lorsqu'un homme d'environs 63 ans se tiens devant lui. Il lache les uzi, l'homme a un bref coup de regard vers le sol lorsque les deux armes touchent terre et Jack en profite, comblant rapidement la distance le séparant du vieil homme, il saisit son bras, passe le sien autou de cou, le fait valdinguer par dessus son épaule et le tint fermemant au sol:

-"Qui es tu? Que veux tu? Que fait tu ici ? Astu des munition ?" demanda Jack sans l'ombre d'une essouflement.

La douleur et le choc sont insupportables pour le vieillard, qui s'évanouit. Jack fouille les poches de l'homme et y trouve une carte du magasin, ce doit être un employé qui a jugé bon de rester ici en attendant les secours. Jack se penche pour ramasser les deux UZI, mais la vitre se brise dans un fracas. Des morceaux se verres volent un peu partout. Une gigantesque créature humanoïde d'environ deux mètres apparaît.
Un coup de poing fulgurant envoi Jack contre le mur, il retombe lourdement.
La bête est toujours debout, à l'entrée du magasin, elle tient une arme gigantesque dans sa main droite, un minigun peut-être, et un lance-roquette de l'autre.

C'est quoi ça ? Une autre merde d'Umbrella ?

Jack se reprend, s'élance et envois son pied dans le visage de la créature qui ne bronche pas, en retour, d'un revers, il est envoyer a cinq mètre de la.

*merde* pensa jack en crachant un peu de sang, tout a coup, il avise sur une étagère des chargeurs pour uzi, il court, les aisit et n'a le temps de recharger, le minigun crache un déluge d'acier. Il se met a couvert dans un couloir qui mène a l'arrière boutique. La il recharge ses armes. La créature arrive et Jack vide ses deux chargeurs en direction de sa tète avant de plonger sur le coté dans l'arrière boutique. Il passe la tète dans l'encadrement de la porte afin de voir le résultat tout en réangageant des chargeurs dans ses armes.

La bête est étalée sur le sol, mais Jack perçoit encore sa forte respiration.
Jack pointe ses deux UZI vers elle pour l'achever, deux "click" sortent des canons.
Après avoir rapidement fouillé les lieux, Jack constate qu'il n'y a plus rien d'intéressant.
Le vieillard a disparu, et la bête commence à se relever.

La bète se relève. Jack lui envoie un upercut d'une violence inouie qui la replaque au col. Il dégaine son arme et , plantant le canon dans l'oeil de la créature, tire trois balles. Il s'écarte ensuite, s'assis contre une étagère basse et reprend un peu son soufle. Il avise un fusil a pompe a coté de lui sur l'étagère.

La silhouette monstrueuse allongée par terre rappelle quelque chose à Jack, il fouille dans sa mémoire, et finit par se rappeler.
Lorsqu'il travaillait pour Umbrella, il avait fouillé quelques dossier sur les produits que vendait la firme, celui-ci est un produit appelé "Projet Nemesis", un homme modifié par une variante du virus Progenitor. Le Nemesis est quasiment invincible, sa peau épaisse ne peut pas être transpercée par les balles, sont seul point faible est son unique oeil (l'autre étant la plupart du temps perdu lors de la transformation).

Le fusil à pompe est un vieux modèle de Benelli M1, avec une capacité de 5 cartouches. Malheureusement l'arme est vide, et il n'y a plus de munitions dans les étagères. Jack l'attache quand même sur son dos.

Quelque chose revient soudain à la mémoire de Jack, tous les produits de chez Umbrella sont équipés de... GPS.

Plusieurs lueurs de projecteurs traversent la vitre brisée du magasin, un bruit assourdissant d'hélicoptères gronde dans le ciel.
L'UBCS est de retour, et en force cette fois-ci.

-"Bordel de merde !!" s'écrie il a lui mème. Il fonce vers l'arrière boutique et ferme la porte derrière lui, geste qui ne le protègera pas, mais qui fera peut ètre perdre la précieuse seconde quand les mecs d'umbrella arriveraient.
D'une main, il ramasse autant de munition qu'il voyait, il verrais plus tard si c'est compatible avec ses armes. Il avisa ensuite une fenètre en hauteur et oeuvra pour l'atteindre, La fanètre était rectangulaire et haute. Il fit glisser une étagère le long du mur et l'escalada avec précaution. Il ouvrit ensuite la fenètre et se laissa tomber dans une ruelle aparement derrière le magasin, des balles sifflèrent a travers l'ouverture de la fenètre ouverte et claquèrent contre le mur du batiment d'en face.

-"JE LE VEUX VIVANt !" Rugit une voix. Jack ne pris pas la peine d'analyser qui c'était, il courrut dans la ruelle.

Au bout de la ruelle, des hommes surgirent, armes en bandoulière. Clairement, ses hommes le voulaient en vie, et il allait en profiter. Il fonca sur le premier et lui assena un terrible coup de poing, lorsque l'homme tomba a la renverse, Jack saisit son flingue dans le holster et fit feu sur les trois autres qui arrivaient tout en mettant un coup de talon dans le menton du propriétaire du flingue qui tentait de se relever.

D'autre arrivaient. Il jeta le flingue du soldat inconscient a ses pieds sur ses poursuivant et sauta sur un containner. Il pris son élan, courra deux pas a la verticale sur le mur et , prenant appuit sur le mur, bondit pour s'accrocher a un escalier de secour sur la parrois parralèle qui appartenait a un immeuble. L'echelle de secour n'allait pas jusque en bas et les soldats durent faire demi tour pour entrer par la grande porte. Jack monta jusqu'au toit et , prenant son élant, sauta sur le toit de l'immeuble qui avait pour rez de chausser l'armurerie. Il fila et se déplaca afin de courrir dans l'axe d'une porte de service qui menait au toit de l'immeuble afin d'ètre invisible par les soldats qui allaient arriver sur le toit.

Il sauta ainsi de toit en toit jusqu'a ce que l'espace soit trop grand pour qu'il puisse sauter sans risquer une chute. Il descendit alors l'immeuble jusqu'a la cave et emprunta des égout jusqu'a un point situé 6 ou 7 kilomètre de la ou il était. Il resortit par une bouche dégout et fila pendant une dizaine de kilomètre a pleine vitesse. Lorsqu'il se jugea hors de danger, il pénétra dans une sorte d'immeuble de résidence et s'installa tout en haut dans un sorte de Duplex très luxueux, les système d'alarme via detecteur de mouvement et de chaleur fonctionnait encore. Ils était brancher sur un transfo de secour qui devait marcher encore 56 heures d'après le boitier de commande. Jack se laissa choir dans le canapé et inspecta les munition qu'il avait eu le temps d'embarquer...

Deux chargeurs de M4, une cartouche Calibre 12 de Benelli, et un chargeur de UZI, belle récompense pour la performance qu'il venait d'accomplir.
Il rechargea immédiatement ses armes, puis déposa son équipement lourd sur la table basse du salon, histoire de souffler un peu.

Après une rapide inspection des lieux, Jack constata qu'il y avait un cadavre décapité dans la baignoire de la salle de bain. L'ancien propriétaire du duplex devait être un bon combattant, il a sûrement compris que rester chez soi ne servirais à rien, c'est pourquoi il n'est plus là, et c'est aussi la raison pour laquelle aucune arme n'est présente.

Jack resta un moment debout, devant la baie vitrée, à contempler la ville étrangement calme. La pleine Lune illuminait le ciel, et quelques lueurs au loin dénonçaient la présence d'hélicoptères de l'UBCS. Jack ferma prestement les épais rideaux, vérifia pour la troisième fois que tous les verrous de la porte d'entrée étaient bouclée, et alla se coucher sur le canapé du salon. Il tomba comme une masse et s'endormit presque aussitôt.


L'horloge Louis XIV annonce qu'il est 8h du matin. Jack est déjà debout depuis deux heures. Il a trouvé un vieux sac de sport dans une armoire, qu'il a garni de biscuits et d'autres friandises : le frigo était décongelé et tout ce qu'il y avait dedans était immangeable. Il repris son équipement sur la table, il était temps de partir.

HJ : Ce repos bien mérité te rapporte 12 points de vie.

Jack descendit l'escalier et se retrouva au rez de chaussé de l'immeuble. Il avait le fusil a pompe en bandoulière dans le dos, par dessus le sac de sport. Le Walter dans son holster pectoral et le UZI a la main. Il sorti de l'immeuble ce qui le conduit dans une grande rue. Des voitures arrêter en plein sur la chaussé démentaient le précipitation et la peur des gens lorsque la catastrophe fut survenue. Il avisa un vélo sur le trottoir et le saisit. Il grimpa dessus et commença a pédaler, il gagnerais du temps ainsi.

Il roula ainsi pendant 4 heures lorsqu'il arriva en bordure de Paris, devant lui, la campagne, derrière lui, la ville. Il s'accorda une pause et mangea un paquet de biscuit ainsi que quelques bonbons. Ce repas frugal le ragaillardis et il partis en direction de la campagne.

Il roula peu de temps ainsi, il avait son objectif, aller a Tours ou des militaires devaient y ètre, s'il ne s'étaient pas fait massacrer par les membres de l'UBSC. Lorsqu'il étaient venu en hélicoptère, ils avaient l'air d'avoir de sérieux moyen défensif, et Tours était une base plein de ressource, kerozen, munition, avion de chasse, missile...enfin bref.

Il s'arrêta donc sur l'autoroute et regarda les jauge d'essence de plusieurs véhicule. Jetant son dévolu sur un Audi A4, il jubila lorsqu'il vit les clef sur le contact. Il pris son vélo (très confortable d'ailleurs) et le mis dans le coffre, un véhicule qui ne marche pas a l'essence, c'est toujours utile.

Il roula jusqu'a la station essence la plus proche slalomant entre les voitures. A la station , il dut bouger une voiture qui était abandonner devant la borne a essence et fit le plein de la sienne. Il entra dans la boutique et pris 8 bidon d'huile. Il fit une vidange et changea l'huile avec un bidon. Il vida les 7 autre, les rinças et attendis qu'ils sèchent. Pendant ce temps, il fourra le plus de nourriture possible dans son sac de sport. Une fois les bidon sèc, il les remplis d'essence et mis le tout dans la voiture...

Il fila ensuite vers Tours qui fut en vue 3 heures plus tard...

La base de Tours était en centre-ville, il fallait encore traverser quelques kilomètres de bouchon avant d'arriver à destination, et enfin être sauvé.
Apparemment, Tours n'avait pas été épargnée par le virus-T, des centaines de zombies erraient dans les rues, sans aucun but.
Jack dut faire marche arrière plusieurs fois car la route était obstruée soit par des zombies, soit par des véhicules, il se fraya ainsi un chemin pendant plusieurs heures, jusqu'à arriver devant les portes de la base.
Il n'y avait personne pour l'accueillir, aucun garde dans les miradors, aucun projecteur.

Il entendit plusieurs coups de feu à l'intérieur de l'enceinte, il descendit de sa voiture et essaya de trouver une entrée.
Il trouva finalement une petite porte qu'il défonça sans problème. Une fois à l'intérieur, c'était l'hécatombe, des groupes de militaires courraient de partout, et se faisaient soudainement fauchés par une rafale de mitrailleuse, des véhicules tentaient de sortir et explosaient subitement, certains soldats criaient et abattaient leurs confrères sans raison apparente.

Jack pénétra dans ce maelstrom de mort et de destruction. Il s'était planquer et rapidement, vit que s'il débarquait au milieu de cet enfer, il n'en ressortirais pas. Il pris donc la décision de monter par un escalier de secours et de barricader lourdement la porte. Il monta quelques étages et pénétra dans un étage apparemment vide. Il pénétra dans un bureau d'ou venait des voix humaine. Il regarda furtivement. Des militaires étaient barricader la. Jack cria , toujours a couvert:

-"Ne tirez pas! Je suis un survivant...Je vais me montrer et avancer vers vous..."

Une voix répondis:

-"D'accord mais prenez votre arme par le canon et avance lentement les mains en l'air."

Jack s'exécuta et avanca. Il pénétra au centre d'une sorte de position barricader avec caisse, meuble et autres, puis il attendis que les militaires se présentèrent.

- Ne relâchez pas l'attention, on ne sait pas qui il est, c'est peut-être Foster qui l'envoie !

Le soldat le plus âgé avait parlé, son insigne indiquait qu'il était sergent-chef, un bref coup d'oeil vers les épaules des autres hommes permis d'informer Jack que cet homme était le plus gradé.

- Pourquoi on ne le flingue pas tout de suite, on était à l'abri ici, peut-être que les hommes de Foster l'ont suivis ?

Jack lança un regard perçant vers le jeune caporal qui venait de parler, un regard d'officier, le jeune écarquilla les yeux et manqua de lâcher son arme, il avait compris la leçon.


- Bon, il se passe quoi ici ? C'est qui votre Foster ?
- On a des questions à te poser d'abord. Déjà lâche ton arme et dis-nous d'où tu viens.

Jack dépose délicatement son arme à ses pieds, les membres de l'escouade estiment que c'est suffisant, il poursuit :

- Je suis passé en hélico il y a quelques jours avec des survivants, les opérateurs m'ont ordonné de quitter l'espace aérien sous peine d'être abattu, ce que j'ai fait.
Nous sommes donc allé à Marseille récupérer un ami (Jack estime alors qu'il est trop tôt pour parler de Umbrella à ces hommes), nous sommes ensuite morts les uns après les autres, et j'ai réussis à venir ici en voiture. Maintenant à vous de me dire ce qu'il vous est arrivé.

Le sergent-chef se porte volontaire pour raconter les derniers évènements :

- ça c'est passé il y a trois jours, on devait être plusieurs centaines de soldats cantonnés dans cette base, et certains ont eu la brillante idée de quitter les lieux, pour rejoindre le Canada, avec le prétexte bidon que le froid tuerais le virus.
- Et alors, c'est vrai ! C'est qu'un virus de merde ! lance un soldat
- La ferme, si tu veux rejoindre les autres dehors je ne te retiens pas !
Donc deux groupes se sont formés : celui du colonel Foster, qui voulait réquisitionner tous les avions pour partir au Canada avec ses hommes, et ceux qui voulaient rester et garder les avions pour s'échapper en cas d'invasion.
- Et c'est pour ça que vous vous entre-tuez ?
- C'est parti de Foster, il a pris une centaine d'hommes sous son commandement et ont essayer de forcer le passage au hangar, les autres ont dû ouvrir le feu.
En plus, avec toute cette tension, il suffisait d'une petite étincelle pour mettre le feu au baril de poudre.
- Et vous dans l'histoire ?
- Nous, on fait tous partie du même régiment, enfin c'est plus qu'une escouade maintenant... et on n'a pas voulu s'entre-tuer pour si peu, on a vécut trop de choses ensemble, donc on a décidé de se planquer ici le temps que ça se calme, même si on ne partage pas les même idées.

Déjà, des bruits sourds se font entendre contre la porte, quelqu'un essaye de l'enfoncer. Puis le bruit s'arrête.

- Ils vont faire sauter la porte ! à couvert !

Le Colonel ne dit rien, une lueur de folie brille dans ses yeux, Jack a peut-être fait une erreur ?
Un large sourire se dessine sur le visage de Foster, il lève son arme et appui trois fois sur la détente, Jack plonge sur le côté et deux balles l'atteignent en plein flanc.
Heureusement qu'il porte un gilet pare-balle, mais Foster n'est pas Colonel pour rien, il s'approche de Jack pour l'achever d'une balle dans la tête, mais l'un des soldats lève son M4 et arrose la pièce d'un long tir de barrage. Au final, on compte les morts : une dizaine, impossible de savoir dans quel camp ils étaient...
Le Colonel Foster a bien entendu survécut, c'est d'ailleurs lui qui a abattu le jeune caporal pour faire taire sa mitrailleuse.

Jack se réveille dans une cellule sombre, sûrement la zone de détention dans les sous-sols de la base.
Son gilet a encaissé les deux coups de revolver, mais les balles ont quand même blessé l'ancien tueur.
Il n'y a aucun garde, il est seul et on lui a bien sûr volé toutes ses armes.
Une lucarne éclaire la pièce, en se levant sur la pointe des pieds il peux apercevoir la cour principale de la base de Tours.
Les soldats qu'il a rencontré tout à l'heure -les membres de la même escouade- sont tous alignés sur des poteaux, les yeux bandés par des rubans noirs.
Une rangée de soldats armés se tiennent en ligne devant eux, le Colonel au centre, avec son béret rouge, ses lunettes noires et son revolver, il prend la parole.

- Ces soldats, tous membres du 5ème régiment, on désobéi à leur Colonel, ils sont accusés de mutinerie ! La révolte a été matée et ceux-là sont les derniers survivants !
ON JOUE !!!!

Tous les soldats alignés se mettent à genoux et visent leurs compagnons.
Jack aperçoit parmi les hommes ligotés le sergent-chef et l'autre soldat qui l'avait soupçonné d'être envoyé par Foster.